[1] CLIFTON, État de la médecine ancienne et moderne, prefacio del traductor, no paginado (París, 1742). <<

[2] CORVISART, Prefacio a la traducción de Auenbrugger, Nouvelle méthode pour reconnaitre les maladies internes de la poitrine (París, 1808), p. VII. <<

[3] Ibid., p. VIII. <<

[4] ROUCHER-DERATTE, Leçons sur l’art d’observer (París, 1807), p. 14. <<

[5] DOUBLE, Séméiologie générale, t. I. p. 80. <<

[6] SENEBIER, Essai sur l’art d’observer et de faire des expériences (2a. ed., París, 1802). t. I, p. 6. <<

[7] PH. PINEL, Médecine clinique (París, 1815), Introd., p. II. <<

[8] Ibid., p. I. <<

[9] MAYGRIER, Guide de l’étudiant en médecine (París, 1818), pp. 94-95. <<

[10] PH. PINEL, Médecine clinique, p. 4. <<

[11] Ibid., p. 3. <<

[12] Ibid., pp. 5 y 3. <<

[13] PH. PINEL, ibid., p. 57. <<

[14] FORDYCE, Essai d’un nouveau plan d’observations médicales (trad. fr., París, 1811). <<

[15] PH. PINEL, Médecine clinique, p. 78. <<

[16] PH. PINEL, Nosographie philosophique, Introd., p. III. <<

[17] Ibid., pp. III-IV. <<

[18] Cf. supra, cap. VI. <<

[19] AMARD, Association intellectuelle (París, 1821), t. I, p. 64. <<

[20] AMARD, Association intellectuelle, I, p. 65. <<

[21] Cf. supra, cap. 5. <<

[22] BOUILLAUD, Philosophie Médicale (París, 1831), p. 244. <<

[23] CONDILLAC, Origine des connaissances humaines, p. 162. <<

[24] Ibid., p. 110. <<

[25] C.-A. BRULLEY, Essai sur l’art de conjecturer en médecine, pp. 26-27. <<

[26] BRULLEY, ibid. <<

[27] CABANIS, Coup d’œil sur les révolutions et la réforme de la médecine (París, 1804), p. 271. <<

[28] F.-J. DOUBLE, Séméiologie générale (París, 1811), t. I, p. 79. <<

[29] CABANIS, Du degré de certitude (3a. ed., París, 1819), p. 86. <<

[30] Ibid., p. 66. <<

[31] Ibid., p. 66. <<

[32] DEMORCY-DELETTRE, Essai sur l’analyse appliquée au perfonctionnement de la médecine, p. 135. <<

[33] Cf. supra, cap. 6. <<

[34] AMARD, Association intellectuelle, t. II, p. 389. <<

[35] CORVISART, Prefacio a la traducción de Auenhrugger, Nouvelle méthode pour reconnaître les maladies internes de la poitrine (París, 1808), p. VII. <<

[36] CORVISART, ibid. p. X <<

[37] CABANIS, Du degré de certitude (3a. ed., 1819), p. 126. <<

[38] ROUCHEE-DERATTE, Leçons sur l’art d’observer (París, 1807), pp. 87-99 <<

[39] CORVISART, véase nota 36. <<