Notas Capítulo 10
[1]GRAVES, White Goddess, p. 271. <<
[2]El texto completo es el siguiente: UN JOUR LES DESCENDANTS DE BENJAMÍN QUITTERENT LEUR PAYS, CERTAINS RESTERENT, DEUX MILLE ANS APRES GODEFROY VI, DE-VIENT ROÍ DE JERUSALEM ET FONDE L’ORDRE DE SION — De cette legende merveilleuse qui orne l’histoire, ainsi que l’architecture d’un temple dont le sommet se perdu dans l’immensité de l’espace et des temps, donde POUSSIN á voulu exprimer le mystére dans ses deux tableaux, les «Bergers d’Arcadie», se trouve sans doute le secret du trésor devant lequel, les descendants paysans et bergers du fier sicambre, méditent sur «et in arcadia ego», et le Roi «Midas». Avant 1200 a notre ere— Un fait important est, l’arrivée des Hébreux dans la terre promise et leur lente installation en Caanan. Dans la Bible, au Deuterenome33; il est dit sur BENJAMÍN: C’est le bien aimé de l’Eternal, il habitera en sécurité auprés de lui, l’Eternal le couvrira toujours, et residerá entre ses épaules ~f~.Il est encoré dit á Josué 8 que le sort donna pour héritage aux fils de BENJAMÍN parmi les quatorze villes et leur villages: JEBUS, de nos jours JERUSALEM avec ses trois points d’un triangle: GOLGOTHA, SION et BETHANIE [y.Et en fin il est écrit, aux Juges 20 et 21: «Aucun de nous nodonnera sa filie pour femme á un Benjamite… O Eternel, Dieu d’Israél, pourquoi est-il arrivé en Israel qu’il manque aujourd’hui une tribu d’Israél \fa A la grande énigme de l’Arcadie VIRGILE qui était dans le secret des dieux, leve le voile aux Bucoliques X-46/50: «Tu procul a patria (nec sit mihi credere tantum). Alpinas, a, dura, nives et frigora Rheni me sine sola vides. A, te ne frigora laedant! A tibi ne teñeras glacies secet áspera plantas!»
SIX PORTES ou le sceau de l’Etoile, voice les secrets des parchemins de l’Abbé SAUNIÉRE, Curé de Rennes-le-Château et qu’avant lui le grand initié POUSSIN connaissat lorsqu’il rélisa son oeuvre á la demande du PAPE, l’inscription sur la tombe est la méme».
LOBEMEAU, Dossiers secrets, lámina núm. 1, 400-600<<
[3]GRAVES, Greek Myths, vol. 1, p. 203, n. 1. <<
[4] MJCHELL, Sparta, p. 73. Los espartanos adoraban tanto a Artemisa como a Afrodita como diosa guerrera. La segunda es la forma que a menudo asumen Istar y Astarté, lo que indica la posibilidad de influencia semítica. <<
[5]2° Macabeos, 5, 9. <<
[6]1° Macabeos, 2, 21. <<
[7]La palabra «semítico» la acuñó en 1781 Schlózer, un erudito alemán, para indicar un grupo de lenguas estrechamente relacionadas Los que hablaban tales lenguas pasaron a denominarse «semitas». En esencia la palabra procede de Sem, hijo de Noé. Si la montaría en cuestión albergaba una colonia judía, seria llamada la «Montaña de Sem». Pero existe también una posibilidad más mundanal. La palabra latina «semita» significa senda o camino, y esta alternativa debe tenerse en cuenta. <<