Notas

[1] Cfr. G. Daressy, «Les Noms de l’Égypte», Bulletin de l’Institut d’Égypte, tomo IX, fascículo 2, 1917, pp. 359-368. <<

[2] Estos textos conforman el corpus religioso más antiguo que se conoce. Están grabados en el interior de las pirámides del último rey de la V dinastía. Unas, y de varios de los reyes y reinas de la VI dinastía. <<

[3] Véase J. Capart, «A quoi servent les égyptologues?» en Chronique d’Egypte, tomo XX, núm. 39, 1945, y J. Vercoutter, L’Égypte ancienne, p. 5. <<

[4] De la divinité du pharaon, 1960, p. 56. <<

[5] En todo lo precedente somos deudores del estudio de J.-C. Goyon, Ceremonial de la confirmation du pouvoir royal du Nouvel An. <<

[6] Véase Leclant. «Le rôle du lait et de rallaitement d’après les textes des pyramides», JNES, vol. X, num. 2, abril de 1951, pp. 123-127. <<

[7] Cfr. Sauneron, BIFAO LX1V, 1966, pp. 185-186. <<

[8] Cfr. Lortet y Gaillard, La Faune momifiée de l’ancienne Egypte, 1905, pp. 201 y ss., y Daumas, Les Mammisis, p. 139, nota 4. <<

[9] Para este texto, conocido como Berlín Leather Roll, cfr. Lichtheim, Ancient Egyptian Literature, I, pp. 116 y ss. <<

[10] Cfr. Derchain, Le Papyrus Salt 825, p. 11. <<

[11] Libro de los muertos, p. 25, nota 48. <<

[12] Véase S. Sauneron y J. Yoyotte, en La naíssance du monde, p. 65. <<

[13] Cfr. Erichsen y Schoct, Fragmente memphitischer Theologie in demothcher Schrift, 1954. <<

[14] Cfr. J. Sainte-Fare Garnot, «Le Tribunal du grand Dieu sous l’Ancien Empire égyptien», RHR, tomo CXVI, núm. 1 (1937), pp. 26-33. <<

[15] Cfr. E. Brunner-Traut, «Die Darstellungweise in der ägyptischen Kunstein Wahrheits-problem», Zeitschriftfür Wissenschaft, Kumt und Literatur, 1953, pp. 481-492. <<

[16] Cfr. De Buck, Egyptische Gottesdienst 1941; J. Capart, CdE, tomo XVI, núm. 32, p. 222; C. Kuentz, «Autour d’une conception égyptienne méconnue, l’Akhit ou soi-disant horizon», BIFAO 17, 1919, pp. 121-190. <<

[17] Z. Zaba, «L’orientation astronomique dans l’ancienne Égypte et la précessions des équinoxes», Archiv. Orientalni supplementa II, 1935, Praga. <<

[18] Véase Schott, Chants d’amour, p. 89. <<

[19] Cfr. Daumas, «La Valeur de l’or dans la pensée égyptienne», RHR, CXLIX, 1956, pp. 1-17. <<

[20] Véase A. Moret. «La légende d’Osiris a l’époque thébaine d’après l’hymne à Osiris du Louvre». Bulletin de l’Institut français d’archéologie oriéntale = Mélanges Loret II, 1930, pp. 725-750. A partir de esta estela podríamos establecer el plano de toda una teología osiríaca recurriendo a otras muchas fuentes. Preferimos ceñirnos a este texto, pues representa un todo, un universo espiritual que voluntariamente se expresa en la forma bajo la cual ha llegado hasta nosotros. <<

[21] Para el análisis simbólico de los cuentos, el mejor guía es H. Zimmer, que expone su método y nos ofrece admirables ejemplos en Le Roi et le cadavre, Fayard, 1972. <<

[22] Cfr. A. Varille, «Inscriptions concernant l’architecte Amenhotep fils de Hapou», Bibliothèque d’Étude XLIV, El Cairo, 1968, pp. 14-15. <<

[23] Véase Drioton, «La Protection magique de Thébes à l’époque des Ptolomées», en L’Ethnographie, 1931. <<

[24] T. Deveria, «Des oreilles et des yeux dans le symbolisme de l’ancienne Égypte», Mémoires et Fragments, París, 1896, tomo I, pp. 147-157. <<

[25] Cfr. G. Rudnitzky, «Die Aussage über das Auge des Horus», Analecta Aegyptiaca, vol. V, 1956. <<

[26] Véase P. Derchain, «La Pêche de l’oeil et les mystéres d’Osiris à Dendara», RdE, como 15. 1963, pp. 11-25. <<

[27] Cfr. J. G. Griffiths, «The Horus-Seth Motif in the daily Temple Liturgy», Aegyptus 38, p. 8, nota 3. <<

[28] Referencias destacables: P. Derchain, Le Papyrus Salt 825; A. H. Gardiner, «The Mansión of Life and the Master of che King’s Larges», JEA, vol. XXIV, 1938, pp. 83-90; del mismo autor, «The House of Life», JEA, vol. XXIV, pp, RT-1'}; P. Ghalioungui, The House of Life, Magic and Medical Science in Ancient Egypt, 1972. <<

[29] Cfr. X. Sainte-Fare Garnot, «Les Fonctions, les pouvoirs et la nature du nom propre dans l’ancienne Égypte d’après les textes des pyramides», en Journal de psichologie nórmale et pathologique, 1948, pp. 463-472. <<

[30] Cfr. A. H. Gardiner, «Some Personifications», P. S. B. A., vol. XXVIII, 1916, pp. 43-54. <<

[31] Jean Yoyotte, «La pensée préphilosophique en Égypte», Histoire de la philosophie, Encyclopédie de la Pléiade, pp. 11 y 19. <<